
Photo de Hello I’m Nik sur Unsplash
Peur ?
Le mot peur est sans doute un peu fort.
La peur est souvent vue comme une faiblesse, impossible à avouer.
De tout temps, les autorités civiles et publiques s’emploient à utiliser l’imminence de la fin du monde pour emmener les masses là ou elles le souhaitent.
En cela la data peut engendrer de la peur avec une équation simple : data = big data = big brother. Un mécanisme qui s’explique par des mythes, des croyances populaires véhiculées par les livres d’anticipation, par le cinéma, mais aussi par l’actualité, ou les actualités, rendues toujours plus angoissantes pour plus d’audience.
Et pourtant
Pourtant, tous les jours nous créons plus de données que ce qui est réellement utile, selon l’adage « Si c’est gratuit, c’est toi le produit ». Ici, pas de sueurs froides, de difficulté à respirer, de paralysie, de cris, …
Alors oui, certaines pensées transhumanistes peuvent et doivent nous alerter. La donnée et son exploitation par de l’intelligence artificielle est un outil fabuleux pour atteindre la vie éternelle. On parle de robots humanoïdes, de fusions de nos organismes, … . L’idée sous-jacente est que notre humanité est tellement imparfaite qu’elle court à sa destruction et qu’il faut l’améliorer en « l’augmentant » par de la technologie.
En route pour la joie
De la peur des autres, à la peur de soi, à la sortie du pays de la peur, pour s’ouvrir à la joie.
Il est possible de reprendre le contrôle et aller de l’avant :
- s’acculturer pour acquérir une culture collective minimale qui permette de favoriser les échanges, d’identifier les opportunités
- recenser son patrimoine, pour optimiser sa gestion (partage, sécurité)
- pour au final valoriser l’actif qu’est ma data. Une valorisation qui n’est pas que pécuniaire.
Vous voulez en savoir plus ? Contactez moi !